Reconversion professionnelle : 5 erreurs à ne pas commettre

 

Réussir ça peut vouloir dire changer de métier, créer une entreprise, se mettre à son comptepour s’épanouir et trouver sa voie.

Dans ces 3 cas cela passe par une phase clef : la reconversion professionnelle.

Aujourd’hui je vous propose un condensé de ce qu’il ne faut PAS faire.

Je vais vous lister les 5 erreurs à ne pas commettre durant sa reconversion professionnelle.

 

Ces erreurs, je les ai expérimentées personnellement, ce sont les plus fréquentes. J’ai croisé également beaucoup de personnes en train de les commettre :

 

Se reconvertir en sortant de sa zone de confort

 

1 – Rester dans sa zone de confort

 

C’est le 1erécueil quand on entame une reconversion professionnelle. On est tenté de continuer de faire ce que l’on sait faire.

La zone de confort, c’est quoi précisément ?

Et bien c’est l’ensemble des choses que nous faisons au quotidien, quand nous nous sentons à l’aise et qui nous rassurent pour nous conforter dans l’idée que tout va bien se passer. Ce sont les environnements que nous connaissons déjà, les habitudes que nous avons et que nous reproduisons. Tout ce que nous avons accumulé comme expérience et que nous croyons bon pour nous. Tout ce qui tend à nous maintenir dans la situation que nous connaissons le mieux : celle que nous avons toujours vécu, même si celle-ci est médiocre ou mauvaise.

Quand on souhaite se reconvertir, c’est généralement pour changer de vie. Ce qui sous-entend, changer son cadre de vie, son quotidien, ses habitudes etc…

 Comment changer de vie si on reste dans sa zone de confort  et qu’on ne change rien !

Vous voyez le paradoxe.

Car notre zone de confort est également liée à un profond et puissant sentiment de sécurité. Et durant la phase de reconversion, on doit souvent réapprendre de nouvelles choses, se mettre à nu, aller vers l’inconnu… Comment avancer dans l’inconnu en gardant ce sentiment de sécurité ? C’est mission impossible.

Voyons quelles sont les choses concrètes qui nous gardent dans notre zone de confort et donc risque de faire échouer notre reconversion professionnelle :

 

 La procrastination

 

Remettre au lendemain ce qu’on peut faire le jour même : ne pas ou jamais passer à l’action.

C’est ce qui parait le plus anodin et pourtant c’est un Fléau !

Si vous êtes encore salarié, donc très occupé avec une vie remplie, et que votre temps est précieux. Il se peut que votre projet de reconversion passe souvent au 2ndplan voir au 3eme plan, après votre travail, votre vie de famille etc. Ce qui le retarde d’autant en vous maintenant dans votre zone de confort : salaire, sécurité, employé, utile, train de vie, famille…

Si vous êtes en recherche d’emploi ou en création de projet : on peut trouver des tas d’activités connexes pour se défocaliser de son cœur de projet et s’empêcher de passer à l’action :

  • Faire durer la recherche sans jamais envoyer un CV
  • Passer trop de temps sur internet à scruter sans plan précis
  • Définir un job idéal inatteignable par rapport au marché
  • etc.

Si vous êtes sujet à la procrastination c’est que vous avez peur et que vous n’avez pas encore trouvé ce qui vous motive vraiment.

 

   Passer trop de temps à se former

 

La formation c’est bien, mais trop de formation tue la formation ! Autrement dit redevenir étudiant pendant un temps est très confortable. On est occupé toute la journée, on est content d’apprendre, etc…. On sent que l’on va dans la bonne direction, même si on ne sait pas encore trop. Ca flatte l’égo mais parfois peut avoir tendance à nous endormir.

Mais attention ! pour l’avoir vécu, on peut vite se faire piéger. Une formation en attire une autre, pour vous permettre de « devenir plus expert » dans un domaine que vous ne connaissez pas encore bien. On peut vous pousser à aller toujours plus loin, vous obligeant à engager des frais conséquents (Les formations ont un coût). Je vous invite à toujours calculer le réel retour sur investissement : est-ce que ma formation me permettra de travailler ? et de récupérer mon investissement au bout de combien de temps.

 

  Se bercer d’illusions

 

Autrement dit se mentir à soi-même, se convaincre que pour tel et telle raison, ce n’est pas le moment de se lancer ou de postuler :

  • C’est l’été personne n’est là, ou Noel…
  •  C’est la crise dans le secteur que je vise et de se plaindre …
  • J’ai besoin de plus d’expertise pour me lancer, et donc continuer des formations encore et encore…
  • Mon CV n’est pas bon, mon projet pas assez robuste, je n’ai pas encore les moyens…

 

 Être trop perfectionniste

 

Le diable se cache dans les détails ! Il est vrai que parfois on peut entendre : « Mon projet n’est pas prêt ». « Il manque ceci ou cela ». « Je ne suis pas encore prêt … » et en général il arrive que 6 mois après, rien n’a bougé. Cette stratégie d’évitement est fréquente, et s’apparente à de la procrastination pour ne pas avoir à passer à l’action car on peut avoir peur de se lancer. On se construit alors une stratégie d’évitement en faisant durer et durer la phase de préparation sans jamais réellement confronter son projet à la réalité.

Chercher à être trop parfait s’apparente à : “j’ai peur d’y aller” ou “j’ai peur d’être jugé” ou “peur de ne pas y arriver”. C’est tout à fait humain et souvent. Cela devient problématique quand cela dure trop longtemps. C’est comme quand vous voulez sauter du plongeoir de 10m pour la première fois. Plus vous attendez et plus la peur augmente. Méditez plutôt l’adage : « C’est en forgeant qu’on devient forgeron ».

Les compagnons du devoir apprennent leur métier en regardant faire le maitre et en faisant à leur tour de façon imparfaite. C’est à force de faire qu’ils deviennent de vrais perfectionnistes ; mais au bout de combien d’années de pratique …

Un projet de reconversion se démarre après un certain nombre d’années d’expérience. Il n’y a pas d’âge, mais en général cela se produit entre 35 et 50 ans. Malheureusement fréquemment, plus on avance en âge et moins on est patient, plus on a du mal à appendre et à se remettre en question. On supporte  souvent mal de redevenir un apprenti. Le résultat : soit on se cache derrière une préparation trop poussée qui traîne, ou alors on veut aller trop vite, croyant que l’on sait faire.

Prenons le temps de redevenir des apprentis, de réapprendre à nous tromper.

 

 

 optimisant son temps pour sa reconversion professionnelle

 

2 – Sous estimer le temps de sa reconversion professionnelle

 

 

Le temps  peut parfois nous jouer des tours. Que nous ayons une semaine ou 1 journée pour faire les même tâches, nous avons tendance à nous étaler pour prendre tout le temps disponible. J’ai vu souvent des personnes définir leur projet de reconversion en fonction de la durée de leurs droits d’indemnisation à l’assurance chômage, sans tenir compte de leurs vraies aspirations.

 

Ne pas assez préparer son projet en amont

 

Par préparation j’entends : évaluer le temps de chaque phase importante de sa reconversion.

  • La reconstruction personnelle : pour se motiver, retrouver l’envie, et se concentrer sur ce qu’on aime.
  • L’inventaire : celle ou on fait le point sur ce que l’on sait faire et veut (Bilan de compétences ou bilan de vie).
  • La construction du projet : rédaction, planning, préparation à l’action, recherche actives,
  • La mise en action : lancement, entretiens, développement, erreurs, échecs, retour d’expérience, résultats positifs

Chacune de ces phases peut prendre jusqu’à 6 mois pour quelqu’un qui veut radicalement changer de secteur ou monter une activité. Donc en tout cela peut durer 2 ans voir plus !

Il est donc important de se préparer pour ce voyage. Bien sûr, parfois cela prend moins de temps, mais dans tous les cas il vaut mieux surestimer cette durée afin de se préparer (mentalement et financièrement) en conséquence plutôt que l’inverse.

Si je me prépare à traverser le désert, ce n’est pas la même chose que de traverser la rue !

 

Ne pas faire de planning

 

Un planning ou retro planning, cela permet de vérifier que vous avez bien évalué que vous aurez le temps nécessaire pour tout faire : préparation, formation, action etc… avant d’arriver en fin de droits par exemple, ou de vos réserves. Vous pourrez anticiper en conséquence.

Tenir compte des paramètres saisonniers liés à votre activité.

 

Ne pas se fixer d’objectifs 

 

Définissez là où vous voulez aller. Si vous n’avez pas de but, ou de vision claire de vos objectifs, vous allez errer et vous démotiver très rapidement.

« Celui qui n’a pas d’objectifs ne risque pas de les atteindre » Sun Zu (l’art de la guerre)

 

Pour vous aider vous pouvez lire l’article que j’ai écrit sur la définition et la clarification d’objectifs, vous y découvrirez une méthode simple pour atteindre vos objectifs à tous les coups :

 

Cliquez ici pour lire l’article “Comment exploser ses objectifs à chaque fois” 

 

 

 

ne pas écouter les conseils des autres durant sa reconversion professionnelle

 

3 – Trop écouter les conseils extérieurs : se laisser influencer. 

 

De nos proches

 

Nos parents, nos amis, nos proches peuvent parfois être nos pires ennemis en matière de conseils quand il s’agit d’une reconversion pourquoi ?

  •  Ils pensent nous connaitre mieux que nous, donc ils pensent à notre place
  • Ils veulent notre bien et donc ne nous pousseront pas forcément à sortir de notre zone de confort, mais au contraire à choisir la facilité. (en fonction de leur éducation et de leur propre expérience évidemment)
  • Ils projettent sur nous parfois des aspirations inassouvies : des rêves qu’ils n’ont pas réalisés et qu’ils espèrent nous voir réaliser à leur place.

Tout cela inconsciemment et avec une grande bienveillance. C’est pour cela que c’est parfois très compliqué.

Par exemple :

  •  Monter une entreprise quand on a une famille de fonctionnaires.
  •  Ouvrir un restaurant quand toute sa famille est dans la banque
  •  Devenir naturopathe quand votre famille est constituée de médecins ou d’avocats.

En règle générale, un conseil n’engage que celui qui le donne.

Faites-vous votre propre opinion, testez et demandez toujours les conseils et avis d’un professionnel qui a réussi dans la voie que vous voulez choisir.

 

Des médias 

 

Les médias ont pour objectif de faire de l’audience. Et même le service public est dans la compétition : radio ou TV c’est la même chose. Ce qui compte c’est le nombre de personnes qui regardent et les scores sur les segments de marchés pour vendre des espaces publicitaires. Je caricature un peu ? pas tant que ça à mon avis.

Plus vous passez de temps à regarder la TV ou écouter la radio, les informations, … moins vous passez de temps sur votre projet de reconversion.

Lisez plutôt des livres références dans votre futur domaine pour en savoir plus et faites-vous votre opinion par vous-même.

De plus les médias classiques sont anxiogènes, et la diète médiatique aura un vrai effet relaxant, apaisant. Cela vous permettra de vous couper de l’actualité afin de vous centrer sur vous et votre avenir.

Pour ce qui est des réseaux sociaux, ils sont également très chronophage. Limiter fortement votre temps sur Facebook, twitter ou Instagram. A moins que ce ne soit nécessaire pour votre projet.

 

Des professionnels de notre métier cible

 

Je distingue là les personnes que l’on croise et qui exercent déjà le métier que l’on veut faire mais qui n’ont pas encore un franc succès. Elles peuvent volontairement ou involontairement nous envoyer des messages parasites, nous démotivant. Entendre dire que le marché est saturé, qu’ils ont galéré ou ont encore des difficultés, qu’ils ont abandonné peut-être… cela pourrait avoir un effet désastreux sur votre motivation comme vous couper les jambes.

Sélectionnez les professionnels à qui vous demandez des conseils. Ne faites jamais confiance à des avis isolés.

Par contre, je vous invite fortement à lire et/ou vous rapprocher des personnes référentes dans votre futur métier. Elles ont réussi et ont forcément une image plus positive de l’activité. On gagne toujours à se challenger au contact des meilleurs. Elles peuvent même devenir vos mentors.

 

 Ne pas s’éloigner des personnes toxiques

 

Qu’est-ce qu’une personne toxique : c’est assez intuitif. C’est une personne qui consciemment ou inconsciemment, volontairement ou involontairement est nocive pour vous : sur le plan personnel et/ou sur le plan professionnel.

J’en ai un peu parlé avant, vous pouvez avoir des personnes toxiques dans votre entourage proche, famille, amis, collègues, relations,…

Comment s’éloigner d’une personne toxique proche : évidemment vous ne pouvez pas couper les ponts avec tout le monde ! Au risque de vous retrouver totalement seul(e) et désemparé(e). Dans ce cas, Je vous invite à identifier dans votre entourage toutes les personnes que vous considérez comme toxiques et ne surtout pas parler de votre projet à ces personnes. Dites-leur que tout va bien.  Ne leur demandez pas leur avis, ne tenez pas compte de leurs retours ou remarques. Évitez de les fréquenter trop souvent, abrégez les échanges si vous sentez que cela dégénère.

Cherchez les personnes qui sont bénéfiques et positives pour votre reconversion.

Celles qui vous font du bien ou qui partagent les mêmes passions que vous. Rapprochez vous de ceux qui rêvent de faire le même métier que vous. Booster vos rapports avec eux, voyez les plus souvent.

Participez à des groupes qui partagent vos passions, vos envies ou qui sont dans le même domaine que celui que vous envisagez. Apprenez à bien vous entourer.

 

renier son passé durant sa reconversion professionnelle

 

4 – Ne pas vouloir réutiliser ses compétences acquises par le passé

 

Vouloir tout recommencer de 0 

 

« Prendre un nouveau départ » :  C’est je pense ce que bon nombre d’entre nous et je me compte dedans, avons voulu essayer. Recommencer une nouvelle vie en tirant un trait sur le passé. C’est tout simplement impossible. Pourquoi ? Parce qu’à 30, 40 ou 50 ans notre vécu fait partie intégrante de ce que nous sommes. Il nous caractérise.

Nous ne pouvons pas recommencer à vivre une nouvelle vie sans jamais penser, parler ou faire allusion à notre passé.

Donc à moins de devenir moine Bouddhiste ! Il vous rattrapera toujours ou pire vous hantera. Vous ne serez jamais vraiment zen.

La solution c’est de faire la paix avec le passé, d’apprendre de ses erreurs, et surtout se pardonner pour celles qu’on a fait. Ensuite de découvrir que ces erreurs avaient un sens et de les transcender pour qu’elles deviennent des forces.

 

Renier son passé 

 

C’est ce qui arrive quand on a vécu une expérience très mauvaise ou traumatisante liée à notre travail : Un licenciement, un prudhomme, un harcèlement moral ou sexuel, un burn out…

On se dit alors : « plus jamais ça ! »

Malheureusement, nous avons tendance alors à vouloir évacuer le bébé avec l’eau du bain ! On se prive à ce moment de toute l’expérience et des apprentissages liés à cette période de notre vie. C’est une réelle forme de régression.

En reniant tout ou partie de notre passé, on essaie d’oublier, on peut finir par s’auto flageller en se disant qu’on a été bête ou qu’on n’a pas fait ce qu’il fallait et être plein de remords. Ce qui a un effet terrible sur l’estime et la confiance en soi. Imaginez à quel point cela peut être contre-productif quand on veut s’impliquer et s’engager dans un projet de reconversion parfois long et semé d’embuches et qu’on a besoin de mobiliser toute son énergie pour y arriver.

Nous avons mis des années à nous construire, à apprendre maitriser un domaine.

Vouloir éradiquer son passé équivaut à se priver d’une expérience de vie riche et ultra précieuse.

Votre passé fait partie de vous. Quoi que vous ayez fait, c’est votre expérience, votre richesse, vos ressources, votre différence. Rien n’est à jeter. Apprenez à le valoriser, vous n’en sortirez que plus fort.

 

 

Changer d'habitudes de vie durant sa reconversion professionnelle

 

5 – Ne pas travailler à changer ses habitudes de vie

 

Les mêmes habitudes provoquent les mêmes résultats

 

Nous sommes ce que nous croyons.

Autrement dit, nos pensées influencent et dictent nos actes. Nous agissons aujourd’hui en fonction de ce que nous croyons bon pour nous. C’est ce qui génère nos résultats actuels.

Si vos résultats actuels ne sont pas satisfaisants, posez-vous la question d’où vient le problème ?

Vous pouvez reverser la faute sur vos parents, votre éducation, ou sur l’assassinat de l’Archi-Duc Franz Ferdinand, cela ne changera rien. Vous avez été et vous êtes, nous sommes tous responsables de nos actions.

Nous sommes libres de penser, et donc de faire comme nous voulons. Personne dans notre tête ne nous dicte nos comportements.

nous sommes tous responsables de ce que nous pensons.

Nous sommes libres de penser ce que nous voulons.

Nos habitudes de vies sont le fruit de la répétition de nos actions  quotidiennes. Elles corroborent nos pensées et donc nous maintiennent prisonnier de notre zone de confort.

Changer de vie sans toucher à ses habitudes du quotidien va s’avérer très, très compliqué.

Apprenez à travailler votre mental, vos pensées, vos croyances pour changer votre destin.

 

Ne pas se remettre en question: la faute c’est les autres

 

J’ai passé des années à chercher des coupables à mes déboires. Au bout d’un moment j’ai compris. Quand nous reproduisons systématiquement un schéma (Freud parlait de principe de répétition), et que la faute vient systématiquement des autre,  c’est que c’est nous le problème !  En l’occurrence je me remettais très peu en question !  J’étais persuadé qu’en tant qu’ingénieur j’étais armé pour trouver des solutions à tout, tout seul comme un grand. Je me trompais…

Quand on parle de remise en question. Cela ne veut pas dire pour autant que ce que nous faisons, ou avons fait est mal. Il n’y a pas de jugement de valeur. J’ai appris en psychothérapie que ce que nous faisons, nous le faisons parce que nous pensons que c’est la meilleure option possible dans notre système de pensée, pour assurer la cohérence globale de notre système de croyances. Donc nous avons raison de penser cela pour nous même.

Ce n’est donc pas le comportement qui est à remettre en cause mais le système de pensées et nos croyances pour pouvoir élargir le champ des possibilités et prendre d’autres décisions.

Nous n’avons pas eu accès à toutes les options possibles.

Se remettre en question et accepter d’endosser la responsabilité de nos actions, de TOUTES nos actions :  c’est déjà un grand changement de perspective.

Avec pour résultat de voir le monde, les autres et soi-même différemment. Ce qui libère de nouvelles possibilités, de nouveaux choix possibles et donc de nouvelles actions avec de nouveaux résultats.

Se reconvertir sans se remettre un minimum question, c’est comme avancer dans un champ de mines avec un bandeau sur les yeux.

 

Ne pas faire un travail sur soi

 

Le travail de remise en question peut se faire seul mais il ne sera jamais aussi efficace qu’avec un professionnel.

Si vous voulez entamer une rconversion professionnelle, il est fortement recommandé de se faire accompagner, coacher, ou de faire un travail introspectif avant ou pendant.

Vous allez gagner beaucoup de temps par la suite. Il est toujours important de prendre son temps au départ pour pouvoir en gagner à la fin.

 

Voilà vous en savez plus sur les 5 erreurs que font les personnes en reconversion professionnelle.

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A très vite

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2 thoughts on “Reconversion professionnelle : 5 erreurs à ne pas commettre”

  1. Je me permets de rebondir sur l’importance de bien s’entourer. Vous voulez vous reconvertir ? Vous ne savez pas si c’est possible ou ce qu’il faut faire pour y arriver ? Recherchez des personnes qui sont déjà passées par là. Des personnes qui se sont déjà reconverties, si possible dans le métier que vous viser. De cette manière, vous allez pouvoir bénéficier de leur retour d’expérience. Ils vont pouvoir vous dire si cela est possible ou pas et, si c’est le cas, vous expliquez les étapes à suivre pour ce faire.

    Comment trouver de telles personnes ? C’est simple : demandez à toutes les personnes que vous croisez (amis, familles, collègues, boulanger, etc.) si elles connaissent des personnes qui se sont reconverties si possible dans le métier que vous visez.

    1. Merci Jeff de mettre l’accent sur ce point, en effet, Christophe Colomb n’aurait jamais pu traverser les océans et faire ses découvertes si il n’avait pas eu son équipage fidèle. Créer un réseau de soutien est la base. Constituez vous votre groupe, en vous appuyant sur des personnes mentors qui ont vécu cette expérience et sont passées par là (j’en parle souvent d’ailleurs dans mon livre). La France championne du monde de football en 2018 a été coachée par Didier Deschamps, champion du monde 1998, un bon exemple qui montre la voie !

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